Le Musée d’art de Joliette est fier de présenter la première exposition muséale individuelle de l’artiste Emma Waltraud Howes, The Time it Takes [Le temps qu’il faut]. Celle-ci propose un dialogue entre des œuvres récentes et antérieures datant de 2012 à 2024.
Dans le contexte des changements climatiques actuels, Biophilia jette un regard critique sur la posture de domination et sur la dynamique d’exploitation de la nature, sur lesquelles reposent toujours nos sociétés post-industrielles.
Première exposition individuelle consacrée au travail récent de l’artiste québécoise Julie Favreau depuis 2018, Les intuitions regroupe un corpus d’œuvres vidéo, d’installations photographiques et de pièces sculpturales en majorité encore jamais vues au Québec.
Quatre artistes – une femme et trois hommes – peu ou mal connus ont participé dans les années 1940 à Montréal aux ruptures esthétiques qui ont mené à l’abstraction. Exposition en circulation au Musée du Bas-Saint-Laurent du 20 juin au 27 octobre 2024.
Derek Liddington s’intéresse à la perception, plus précisément à la mémoire et à ses effets sur nos perceptions. Comment rendre ces effets tangibles dans une œuvre? Comment les faire vivre aux visiteurs?
L’exposition Un lieu de mémoire : contextes d’existence s’intéresse à la question du contexte, au sens à lui donner et à la façon dont il crée les conditions qui poussent les artistes à exprimer de nouveaux points de vue sur notre monde.
Cette première exposition individuelle d’importance, qui inclut de nouvelles œuvres, propose un bilan des trente ans de carrière de l’artiste.
Le travail de Shannon Bool adopte de multiples formes, entre autres la tapisserie, la peinture sur soie, le collage, la sculpture ou le photogramme. Il gravite autour d’un thème central : une critique du modernisme à travers l’emploi de matériaux et de techniques non conventionnels.
Composée d’œuvres des années 1980 à aujourd’hui, cette première exposition rétrospective de Monique Régimbald-Zeiber fait apparaître le fil conducteur d’une carrière élaborée sous le signe de la conversation.
À la source de cette exposition, l’intuition que le toucher, qui permet d’entrer directement en relation avec notre milieu de vie, est un sens fondamental de l’expérience humaine que l’intelligence artificielle ne pourra jamais réellement comprendre.
Tels des tableaux vivants, les œuvres d’Adad Hannah sollicitent l’œil fasciné et attentif du spectateur qui voit et visionne simultanément des images contenues dans la durée, expérimentant de façon inédite le provisoire dans la continuation.
Dans le cadre de ce projet, Kapwani Kiwanga mise sur la rencontre et le partage; elle choisit d’inviter les visiteurs à agir directement sur l’installation, en manipulant les œuvres laissées à leur disposition dans la salle.
Surveillez les dates de tournée de l’exposition Marcel Barbeau.
